Partenariats & relations extérieures

Les relations avec les organismes de protection sociale

L’Agirc-Arrco est un acteur majeur de l’efficience sur tous les chantiers administratifs ayant un impact sur ses ressortissants, entreprises et particuliers.

L’Agirc-Arrco est membre du GIP-MDS chargé d’organiser la mutualisation des moyens des organismes de protection sociale vis-à-vis des entreprises et de développement de la DSN (Déclaration sociale nominative) issue de la paie des salariés.

L’Agirc-Arrco est parmi les grands régimes membres du GIP Union Retraite chargé par le législateur du pilotage des projets de coordination, de simplification et de mutualisation, dont en particulier le droit à l’information retraite. L’Agirc-Arrco est opérateur pour compte commun de nombreux services développés dans ce cadre. 

Les relations avec la protection sociale complémentaire

Historiquement, les institutions de retraite Agirc-Arrco sont membres de groupes paritaires de protection sociale, aux côtés de institutions de prévoyance, acteurs de protection sociale complémentaire en santé et prévoyance, essentiellement collective, contrôlées par les représentants des employeurs et des salariés, et représentées par le CTIP.

Les groupes paritaires de protection sociale sont définis par l’accord national interprofessionnel du 8 juillet 2009. Voir notre infographie

Le CTIP (Centre technique des institutions de prévoyance), membre du GIP-MDS est l’interlocuteur de la fédération Agirc-Arrco sur les sujets d’intérêt commun concernant les entreprises, les salariés et les retraités.

Les études et analyses sur le système de retraite français  et les comparaisons internationales

L’Agirc-Arrco participe aux travaux menés dans le cadre du Conseil d’orientation des retraites COR, instance d’expertise et de concertation chargée d’analyser et de suivre les perspectives à moyen et long terme du système de retraite français.

Au plan européen, l’Agirc-Arrco est actif au sein de l’Association européenne des institutions paritaires AEIP, afin d’échanger avec ses homologues européens sur les défis des régimes de retraite en termes de soutenabilité et de développement durable et de contribuer à promouvoir le paritarisme et le modèle collectif de financement de la protection sociale.